L’étranger errait dans les ruelles du carnaval sempiternellement, empruntant la voie de les apparences colorés qui semblaient figés dans un élégance d’oubli hypnotique. Chaque bras dansait en ami, sans jamais s’arrêter, à savoir s’ils étaient pris dans une ondulation temporelle dont individu ne se souvenait l’origine. Il se demandait combien https://conneruybef.blogmazing.com/32986658/le-sorties-des-identités-perdues