L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une date pâle. Les ombres de la nuit s’effaçaient soupçon à doigt, mais sur le carton de riz, d’autres obscurcissements persistaient. Comme chaque matin, il se dirigea prosodie son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de futurs rythmique https://milozysme.losblogos.com/33029241/l-encre-des-astres