Chaque soir, Liora ravivait le bombe dans l’âtre courbe au noyau de son atelier. Elle y jetait les passages de cuivre en calme, donnant les volontés danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un règle. C’était une respiration lente, une habituation débarquée d’un fait ancien répété sans fin. https://voyancegratuiteenligneimm76306.articlesblogger.com/56697521/les-lignes-diminués