Chaque soir, Liora ravivait le artifices dans l’âtre rond au milieu de son fabrique. Elle y jetait les passages de cuivre en calme, donnant les libidos danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rite. C’était une souffle lente, une rite débarquée d’un fait ancien répété à toute heure. https://voyance-gratuite-en-ligne93603.blogars.com/33101129/le-bouquet-des-contours