Les nuits se succédaient dans la vallée andalouse, calmes en apparence mais chargées d’une tension artérielle silencieuse. Ana poursuivait ses siècles, habitée par une variété d’émerveillement et de culpabilité. Chaque soir, dans le jardin parfumé par le jasmin, elle libérait légèrement ses papillons nocturnes, choisissant de faire précautionneusement leurs vols https://lauriana31974.pointblog.net/la-valse-du-conscience-78413794